La série Flash en saison 4 revient avec un début qui termine un très bon travail d'effacer l'ardoise et de nous rappeler ce que nous avons adoré de l'arrangement en tout cas (ce qui était important après une troisième saison frustrante et décourageante). De nombreux points de vue, "The Flash Reborn" m'a aidé à me souvenir du monstrueux Rebirth de DC Comics, qui craignait de rétablir le plan de l'Univers DC. Cette scène semble être pour la plupart inquiète à l'idée de redonner espoir et confiance à la vie de Team Flash. Comme nous le savons tous, la plupart des scènes Flash sont basées sur trois choses: le cœur, la bêtise et l'exposition. Avec reconnaissance, cette heure n'était pas déficiente dans aucun d'entre eux.
Voila un extrait de la saison 4:
"Flash Reborn" commence à un début solide et consolant: Kid Flash, Cisco, et Joe courent, vibrent, et conduisent, individuellement, autour de la ville en quête de s'enfuir metahuman Peek-a-Boo (dernier trouvé dans la saison 1 "Maverick Air"), tandis que Iris facilite leurs efforts de retour à STAR Labs Iris, qui a affronté une partie Overwatch-esque sur Team Flash, donne un sens à l'exemple du transport subtil de la méta, qui est le moyen de la stopper.
Bien sûr, l'heure présente des impacts visuels excitants, mais Iris devenant le pionnier du groupe dans la foulée du départ de Barry est l'avancée la plus énergisante des débuts. Expulser Barry de la table a permis à Iris d'avancer et de jouer un rôle essentiel et vital dans le groupe. Son savoir-faire innovant est-il de bon augure? Non, mais quelle différence cela fait-il? C'est plaisant de la voir être une brute avec le nom de l'équipe à déterminer (ce n'est certainement pas Team Kid Flash, que tout le monde, à part Wally, admet a des syllabes excessivement nombreuses). Elle les aide à se souvenir de leur terrible réputation au cours des derniers mois (un metas sur trois qu'ils combattent) et nomme Wally quatre heures de préparation au lieu de la rejoindre et Joe pour souper avec Cécile, qui emménage avec Joe .
Incontestablement tout le monde manque à Barry - en particulier Iris, qui rumine la chaise longue de nos jours puisqu'elle ne peut pas être seule dans ce lit et se consacre entièrement à sa nouvelle partie en gardant à l'esprit le but final de s'interroger sur Barry. Helbing et Eric Wallace ne donnent pas une chance à ce tourment de surcharger la scène. Pour chaque instantané de pitié, il y a un autre punchline qui vient dans le virage. Par exemple, Cecile incitant Joe à propos de son énorme accumulation de records est un équilibre décent pour Joe ayant une conversation avec Iris sur la façon dont elle ne gère pas le décollage de Barry. Iris n'aimerait pas en discuter, alors elle part plutôt de façon inattendue.
Voila un extrait de la saison 4:
"Flash Reborn" commence à un début solide et consolant: Kid Flash, Cisco, et Joe courent, vibrent, et conduisent, individuellement, autour de la ville en quête de s'enfuir metahuman Peek-a-Boo (dernier trouvé dans la saison 1 "Maverick Air"), tandis que Iris facilite leurs efforts de retour à STAR Labs Iris, qui a affronté une partie Overwatch-esque sur Team Flash, donne un sens à l'exemple du transport subtil de la méta, qui est le moyen de la stopper.
Bien sûr, l'heure présente des impacts visuels excitants, mais Iris devenant le pionnier du groupe dans la foulée du départ de Barry est l'avancée la plus énergisante des débuts. Expulser Barry de la table a permis à Iris d'avancer et de jouer un rôle essentiel et vital dans le groupe. Son savoir-faire innovant est-il de bon augure? Non, mais quelle différence cela fait-il? C'est plaisant de la voir être une brute avec le nom de l'équipe à déterminer (ce n'est certainement pas Team Kid Flash, que tout le monde, à part Wally, admet a des syllabes excessivement nombreuses). Elle les aide à se souvenir de leur terrible réputation au cours des derniers mois (un metas sur trois qu'ils combattent) et nomme Wally quatre heures de préparation au lieu de la rejoindre et Joe pour souper avec Cécile, qui emménage avec Joe .
Incontestablement tout le monde manque à Barry - en particulier Iris, qui rumine la chaise longue de nos jours puisqu'elle ne peut pas être seule dans ce lit et se consacre entièrement à sa nouvelle partie en gardant à l'esprit le but final de s'interroger sur Barry. Helbing et Eric Wallace ne donnent pas une chance à ce tourment de surcharger la scène. Pour chaque instantané de pitié, il y a un autre punchline qui vient dans le virage. Par exemple, Cecile incitant Joe à propos de son énorme accumulation de records est un équilibre décent pour Joe ayant une conversation avec Iris sur la façon dont elle ne gère pas le décollage de Barry. Iris n'aimerait pas en discuter, alors elle part plutôt de façon inattendue.
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